
Par transparence, par une multitude de couches de lavis, elle tisse la peau de la toile, jusqu’à ce que celle-ci devienne matière, Sandra capte la lumière, attentive aux passages, aux reflets, à la transparence, aux mouvements et elle n'oublie pas le bruit ou le silence, l’odeur et la sensation de la chaleur de plomb ou encore ce filet d'air qui passe par là. Elle a pris le prétexte de faire sortir de l’eau ces baigneu.rs.ses, qu’elle a souvent peint irradi.és.ées de lumières, dans les mers vertes ou bleues.